La Pandémie pour un Jeune Parisien
par Che Sufuentes
La pandémie est toujours en cours quel que soit le vaccin, juste aux États-Unis, nous avons atteint la barre des 500 000 morts, à cause du covid-19. Nous avons tous été touchés par la pandémie et continuons de subir les effets de la quarantaine, à la fois mentalement et physiquement. Afin de comprendre ces effets, mentalement plus que tout, nous nous sommes entretenus avec Jorge, un Parisien de 19 ans. Jorge qui vit à Paris et y étudie à l'université est dans un environnement de plus de possibilités et d'opportunités, quelle que soit sa situation financière.
La pandémie a-t-elle considérablement affecté vos plans pour votre avenir?
Je dirais que non, j'espère, parce que, moi je, ça affecte mes études, mais ça ne va pas affecter au final mon parcours académique. Ça ne va pas changer les études que je veux faire, ou les études que je suis en train de faire. Ça ne va pas changer ça, et c’est ce que je veux faire dans la vie, dans le monde, c’est toujours possible de le faire. Alors j’imagine que non, mais on sait pas. Mais j'espère que non.
Avez-vous commencé à remarquer des problèmes dans votre communauté, qui existaient avant la pandémie?
Ici a Paris, des problèmes, je dirais, on ete pas prêt, il faut avoir un peu plus de conscience collective, au sens de les gens faut t’il mettre leur masque. Et ça c'était pas très vu, il n'y a pas cette responsabilité collective. Et aussi les hôpitaux, qu’ils n'étaient pas prêts pour cette mobilisation, on ne savait pas quoi faire.
Avez-vous remarqué des changements dans votre façon de penser avant la mise en quarantaine? Êtes-vous plus rapide à remarquer certaines choses, autour de vous, chez d'autres personnes, etc.?
Oui, je dirais, surtout, qu’avant, bas on a remarque pas avant de la quarantaine, moi j'étais une personne qui, j'étais dans mon premier anne de l'université, je sortais tous les week end, j’allais danser, j’allais dans le boite de nuit, j’allais faire la fête, je voyageais beaucoup parce que moi j’habite a Paris, mais on a voyage beaucoup à Madrid et de fois en Bruxelles, et ca, c’etait bien, mais j’arrive pas à le valoriser au temps, et après qu’on avait la premier quarantaine, et j'étais enfermé ici pour un mois et demi, bas pour moi c'était “WOW”, sa me manque, ça me manquais beaucoup la vie sociale, et je dis la fête et tout, mais aussi aller au cours, allés à l'université ça me manque tellement quel que on se plaint tout le temps, on disait non, “l’universite "wouah", c’est chiant, j’suis pas allait en cours magistrales la” et au final sa, sa te manque, même la bibliothèque ça te manque, même manger à la cantine ça te manque, même faire du sports, etcetera.
Pensez-vous que vous avez mûri exponentiellement plus rapidement au cours des derniers mois?
Oui, tout a fait, tout à fait je pense parce que j’ai l’impression que ça fait un ans, que la pandémie a commencé, pas encore mais ça va faire un ans, et je me sens que il y a trois cent qui sont passés, je me sens que j'ai identifié plusieurs sujets qui devraient être les priorités, en dehors de l'école, des amis et de la fête.
Qu'est-ce qui vous motive à continuer à travailler, à vous efforcer d'en faire plus et à fixer vos objectifs plus haut?
Moi personnellement, surtout, je dois vue que il est très difficile de rester motivé, parce que, avec la FAC, qui est l'université, qui est en ligne, et qui on va pas sur le campus, mois ça m'affecte beaucoup, j’ai pas eu la motivation pour réviser, pour suivre les cours, parce que tu le tout fait dans ta chambre, mais c’est très dur de garder la motivation. Comme je l'ai déjà dit, je dois me concentrer sur les priorités que j'ai identifiées et réfléchir sérieusement à ce que je veux réaliser, pas seulement à ce qui serait cool à réaliser.
Plus que jamais, que voulez-vous faire, quels objectifs voulez-vous atteindre?
J’aimerais bien essayer d’arriver dans un poste ou je peux vraiment, essayer de en soi, gérer bien les ressources qui nous sont données, mettre en place des politiques juste pour les gens, faire en sorte que le monde soit un peux mieux, et aussi la, dans les dernières années, je suis tres focus, tres centre sur l’environnement et le changement climatique. Je veux bien aussi faire partie de cette nouvelle parce qu’il faut reconstruir, il faut la refaire.
La pandémie est loin d'être terminée, quels que soient les vaccins. Différentes variantes du virus sortent beaucoup plus rapidement que prévu. Quoi qu'il en soit, nous sommes déjà en train de faire la transition vers un travail hybride, d'apprentissage hybride, de sport hybride et d'hybride, ce qui est préoccupant. Parce qu'il est prudent de s'attendre à ce que ce double mode de vie affecte tout le monde à la fois mentalement et physiquement, davantage de problèmes sociaux surgiront. Merci d'avoir lu mon article et je veux vous demander d'être conscient de vous-même et des autres.