Les étudiants et les professeurs sont d’accord que les OCOs donnent une expérience amusante mais les règles compliquent la situation.
Par Adrian Long, George Pritchard et Steven Niu
Les professeurs sont pleins d'éloges pour les OCOs. Ils racontent qu’il n’y avait pas de formalité, et tout s'était passé agréablement. En général, les étudiants sont d’accord et sont contents d'avoir revu leurs amies. Mais il y avait aussi des étudiants qui s'énervaient avec le système obligatoire des OCOs.
Les OCOs sont des opportunités sur le campus de Catlin Gabel. Il y a des groupes de 10 étudiants, avec un animateur adulte. Les activités incluent marcher sur le campus, faire ses devoirs et beaucoup plus.
Dans les OCOs des élèves cours en portant des masques! (Catlin Gabel Instagram)
Les professeurs aiment les OCOs. Bob Sauer, un professeur de science, a mené 2 OCOs, et il a apprécié 2 aspects. Il a dit que “l’un est une chance de se voir en personne, ce qui n’est pas arrivé depuis longtemps et de s’habituer à retourner à l’école.” Aussi, Derek King, un bibliothécaire à Catlin Gabel, a dit que “J'ai passé un bon moment, j'ai trouvé que c'était amusant.” Les deux adultes ne ressentaient aucun risque pour le COVID-19.
Mon ami avait des sentiments mitigés à propos des OCOs. Il a dit qu’il “aime pouvoir passer du temps avec [ses] amis et leur parler,” parce que “c’est amusant d’interagir à nouveau avec tout le monde avec un semblant de normalité sur le campus de l’école.” Mais il n'était pas complѐtement satisfait. Alors qu’il sait que c’est pour protéger les étudiants, il n’aime pas que nous ne pouvions pas manger ou boire sur le campus. Il souhaite que nous puissions quitter le campus avec nos amis et changer de groupes pour rencontrer plus d’amis.
Un certaine élève proteste l’organisation des OCOs et a dit qu’il “déteste quand ils sont obligatoires.” Il a dit que “les horaires des activités normales ne sont pas pratiques et le Magnus Health est aussi un problème.” Au contraire, l'étudiant comprend l’importance des OCOs mais pense qu’elles fonctionnent mieux pour les étudiants plus jeunes.
Dans l’ensemble, l’accueil des OCOs a été mitigé. Les élèves et les professeurs les aimaient et les détestaient.